Un débat sur un trottoir : Qu’est-ce que l’art contemporain ? (nous sommes en plein Evento bordelais)
Mardi : le mystère de la maison qui flotte sur la Garonne.
Un samedi matin plus tard, je marche sur les quais, il est encore tôt : découverte de l’énigme.
Je découvre aussi un cours de taï-chi sur le miroir d’eau, a priori un truc zen et une bonne idée de le faire face au fleuve, sauf qu’à cette heure-ci il y a aussi le ballet des camions nettoyeurs.
Premier cours de gym où j’ajoute « cuisses » à « abdos-fessiers ».
(samedi matin, si je vais marcher quasi au réveil, c’est à cause de ça, à cause de « cuisses »). J’ai vraiment l’air con devant la glace à faire les mouvements rythmés par le « allez les filles, et 1, et 2…etc » du prof, mais bon, j’ai enfin dépassé la peur du ridicule qui t’empêche de.
(pour ceux qui n’ont pas suivi depuis le début, je raconte ici THE début de sophie fait du sport)
(Et non, je n’ai pas de photo ;-)
De l’été à l’automne : ça y est, c’est fait, ça s’est passé cette semaine.
Déjà nostalgique de la chaleur sur la peau…
Cette semaine, j’ai parlé ici de cimetière virtuel, de fragments, de clowns, de voleurs de livres, et d’un italien.
J’en suis à l’épisode 30 de la Saison 1 de « In treatment », je termine « Le système Victoria » et je commence « Un jour, le crime » de JB Pontalis, je construis un projet avec Célestin, j’écris toujours ce livre difficile à finir (« la pression que l’on se met soi-même sur le dos est parfois la pire » : proverbe chinois philo-sophie-que), et aussi j’ai aimé ça et puis ça.
Le nom de ce blog ? Oui, c’est ça, l’expérience du désordre…
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