Ils sont en face de chez moi, et ils s’applaudissent toutes les 5 minutes. Très tôt, dès 7h30 […]
Category Archive: Sortir du vide
C’est un monde comme ça maintenant. Où les médecins pleurent à la télévision. À cause de l’humanitaire qui […]
Devant un tag géant qui représente une tête de renard, deux filles prennent respectivement des poses pour se […]
Je viens d’avoir une révélation, j’ai trouvé le métier que je veux faire, j’ai 49 ans et enfin, […]
Je monte sur la balance. Je ne fais pas ça tous les matins. Mais comme ces derniers jours, […]
On marche trop. Depuis cette formule En marche lancée un jour par un président : voilà qu’on n’arrête […]
Elle trouve que mon message sur mon répondeur, quand tu l’écoutes, ça fait comme un voyage. Mais elle […]
Les Gilets. Les ratés. Veulent – volent – ce qu’ils ne méritent pas. Les classes populaires. Les ronds-points. […]
Depuis mon bureau, j’entends les groupes d’anglaises rire, les guides touristiques commenter ici a vécu, les gens qui […]
Je l’entends de loin, qui hurle. C’est une petite fille. Vu l’heure matinale, je pressens que ce chagrin […]
Ce matin, je me demande si je suis un Gaulois… Si Gaulois d’une start-up nation, ça veut réellement […]
C’est le dernier jour.
Le dernier jour, c’est un jour comme un autre, suivi d’un autre.
Les calendriers nous torturent.
Texte 204 ≈ Sortir du vide ≈ journal vrai/faux de Sophie Poirier ≈ « Aujourd’hui, je suis (enfin) entrée dans une auto-école, et j’ai dit : (…) »
Texte 203 ≈ Sortir du vide ≈ journal vrai/faux de Sophie Poirier ≈ « J’ai aperçu des images de la mascarade. Des pantins, vides, boursouflés d’eux-mêmes, leur destin serait celui d’un pays… La télévision les aligne comme les poupées dans les vitrines, ou alors des boîtes de conserve (…)
Texte 199 ≈ Sortir du vide ≈ journal vrai/faux de Sophie Poirier ≈ « Cette nuit, j’ai séquestré un patron d’une grosse entreprise. (…)
Texte 198 ≈ Sortir du vide ≈ journal vrai/faux de Sophie Poirier ≈ « Cette radio – France Culture – entre 5h et 6h du matin, franchement, ça déménage ! (…)
Texte 197 ≈ Sortir du vide ≈ journal vrai/faux de Sophie Poirier ≈ Dans mon téléphone, il y a un calendrier. Tout à l’heure, avec le doigt sur l’écran, j’ai fait défiler les années. À l’an 2184, j’ai arrêté. (…)
J’ai rêvé que je faisais des photocopies. Ouais. Autant dire qu’avec ce genre de rêve, le matin, tu […]
Texte 195 ≈ Sortir du vide ≈ journal vrai/faux de Sophie Poirier ≈ C’était une de ces soirées où, alors que c’est samedi et tout s’agite dans la ville, rien ne vous arrive. Pour votre plus grand plaisir. (…)
Texte 194 ≈ Sortir du vide ≈ journal vrai/faux de Sophie Poirier ≈ J’écoute la radio. Le virus dans la glace. (…)
Texte 193 ≈ Sortir du vide ≈ journal vrai/faux de Sophie Poirier ≈ »Le gars passe dans la rue, il gueule. Il nique ta mère fils de pute et même ta grand-mère, (…) »
Aujourd’hui, je voulais absolument écrire un texte avec dedans l’expression « les invariants immémoriaux ». Glisser cette formule l’air de […]
Texte 192 ≈ Sortir du vide ≈ journal vrai/faux de Sophie Poirier ≈ « Je m’étais inscrite sur le site d’un réseau professionnel. On m’avait dit : »Tu verras, c’est drôlement bien, on fait du réseau, et le réseau, c’est la vie. » (…)
Texte 191 ≈ Sortir du vide ≈ journal vrai/faux de Sophie Poirier ≈ La scène se passe entre 3h et 5h. Je n’ai aucune idée de ce qui déclenche ce maelström nocturne, on a franchement mieux à faire à ces heures-là qu’affronter des tempêtes. (…)
Cette nuit, j’étais en colère contre une personne précise. Nous étions autour d’une table avec d’autres gens et […]
Texte 189 ≈ Sortir du vide ≈ journal vrai/faux de Sophie Poirier ≈ Quelquefois, quand je vois les like sur facebook que font les garçons sur les images de filles à poil nichons devant, (…)
Texte 188 ≈ Sortir du vide ≈ journal vrai/faux de Sophie Poirier ≈
« Mais comme il est difficile d’être ce que nous sommes… », ai-je pensé ce matin (…)
Me suis demandée si je ne pouvais pas être considérée comme un territoire innovant afin de toucher des […]
Un matin, tu te réveilles, tu écoutes la radio. Tu écoutes une écrivaine qui parle de son livre […]
Les personnes assises à proximité de moi – la terrasse est pleine à cause de ce soleil d’hiver […]
l'expérience du désordre 
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