Pour cause de travaux, pas de chronique du bulot ce dimanche. Cependant, je nous vous laisserai pas sans rien sous la dent…
D’abord, vous pouvez rattraper le temps perdu et lire les 8 chroniques précédentes (au hasard : Un bulot sur une balançoire (5), “L’art de la coquille” ou Comment le bulot survit au milieu des requins…(7), ou pour ceux qui découvrent Chronique du Bulot (ou la bulot-sophie) : le pilote !.
Sachez que les bordelais ont failli avoir un « vélo-bulot »… Mais Starck lui a préféré un vélo-pibale. (on est pas loin, quand même, non ?) Monsieur Juppé a d’ailleurs relevé sans le savoir une différence notable entre le bulot et la pibale : «(…) génie de la simplicité. Sans plume, ni paillettes. » (article Sud-ouest)
Ainsi que nous l’avions vu dans la chronique précédente, le Bulot (glamour) aime les paillettes lui, et les plumes aussi sans doute.
Donc amis bulots bordelais, nous déambulerons sur des pibales-bikes !
Si l’ennui vous prend en ce dimanche glacé, vous pouvez aussi évidemment piocher par-ci par-là (Début de bataille ? ou Petit-grand bilan !), ou encore vous faire un ABC : Mon vrac du A, Mon vrac du B, ou Mon vrac du C.
Moi je vais m’initier à la peinture de sol, du côté du 101 !
Et pour finir, cette phrase vue (grâce à l’amie Charlotte) (tu sais, quand y’a eu un rayon de soleil, et qu’on a même pris un café dehors !).

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