Aucune importance les découpages et les tranches de jours, certaines semaines comme des chiffonnades, tellement fines qu’on ne les a pas vues passer.
Aucune importance les passages à niveaux : ça ne fait que suivre un cours…
Ni fin, ni début : continuum delirium.
Pourquoi avons-nous tellement envie/besoin de fêter ce temps qui passe ?
Alors qu’il serait délicieux que ça dure infiniment plus longtemps cette aventure.
Texte 38 ≈ Sortir du vide ≈ journal vrai/faux de Sophie Poirier
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