Il y a environ une quinzaine d’années, mon fils adolescent à qui je refusais d’acheter une mobylette m’avait fait une grande tirade finissant par cette sentence que je n’ai jamais oubliée : « Ok, mais si tu veux, je peux aussi passer ma vie à habiter avec toi et ne pas sortir, et comme ça il ne m’arrivera jamais rien.« 
Depuis le 17 mars, la vie confinée, avec des barrières partout.
Et aujourd’hui, un courtier en assurances conclut son appel commercial par : « Madame, la vie est un risque. »
Entre les trois, il doit bien y avoir une sagesse à trouver.

Mais là, j’ai la flemme…

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4 réponses à « philo-sophie (43) »

  1. J’adore ce que tu écris…
    Aujourd’hui c’est un sourire de compassion parce que jai eu à vivre la même scène…
    J’ai cédé…

  2. Moi j’ai tenu bon… mais j’ai toujours gardé ce beau message de liberté en tête.
    Merci :-)

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